Recueil des mémoires de Zoroastre et des héros des terres argentées.
Publication : 29/02/2008.
Mise à jour : aucune.
Poids : 1
Prix d'achat : 6.660 Po
Kedok : I29 Arche d'alliance
Prologue
Et lorsque le septième sceau sera ouvert,
Le sang des animaux jaillira de la poussière.
Les anges debout au quatre coin de la terre
Retiendront les vents et les fronts des mers.
Alors le pouvoir sera donné de faire périr père et mère
Par le glaive et les bêtes sauvages des enfers.
Sacrifiés sur l'autel doré de la discorde et de la misère
Leurs âmes s'envoleront comme un seul cri dans les airs.
Le livre scellé écrit de devant et de derrière
Recueillera dernières lamentations et prières.
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie
Et qui gardent les choses qui y sont écrites.
Car le temps est proche.
Le Scribe
L'Oracle
Entre ciel magnifié et terres argentées, apparut au côté d’un cheval blanc, celui que l'on appelle Oracle. Quelqu’un qui ressemblait à un homme…
Il était vêtu d'une longue robe en lin teinte de sang et avait une ceinture d'or sur la poitrine. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme la laine d'un agneau et soutenaient plusieurs diadèmes, chacun gravé d'inscription que lui seul connaît. Ses yeux brillaient autant qu'une flamme de feu. Ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent foulant un tapis de braises. Il avait dans sa main droite une épée aiguë à deux tranchants et tenait dans sa main gauche un encensoir duquel jaillissait du souffre. Et il cria d'une voix forte comme le font cent trompettes de guerre :
Fils de l’homme, Gémissez ! Malheureux sont vos jours ! Car le jour approche, le jour de votre fin approche, jour ténébreux. Ce sera le temps des famines. L’épée fondra sur vos terres et l’épouvante sera dans vos familles quand les morts tomberont par milliers, quand on enlèvera vos richesses et que vos croyances seront ébranlées.
Fils de l’homme, entendez ! Je suis venu vous chercher ! Car celui qui me servira connaîtra la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et les louanges des chérubins. Je lui offrirai le trône de vie et il sera reconnu par toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre et sous la terre.
Fils de l’homme, regardez ! La nuit n’est pas encore tombée. Car tel est mon commandement, le commandement que vous devrez exécuter. Prosternez vous et adorez celui qui vient vous délivrer, et recevez l’onction et le sacrement de votre nouveau règne. Je viendrai avec l’étoile du matin pour marquer les êtres immolés de toute impureté, quand les autres périront dans un étang de sang
Le ciel s’ouvrit, l’Oracle s’y engouffra. Et les terres argentées commencèrent à trembler…
Zoroastre
Visions d'Horreur
Témoignages
Mes frères, j’ai vu sortir de terre et du milieu de la nuit, ce qui n’est pas des nôtres.
La terre porte-t-elle encore d’autres monstres ?
Toutes les nuits, il était sans cesse
Dans les montagnes et les tombes,
Poussant des cris de détresse
Se nourrissant des pierres immondes.
Cité sans commentaire dans un carnet de notes
Beaucoup verront leur propre image
Qui les suivra comme un jumeau spectral.
De cette vision épouvantable, ses victimes
Gémissantes sauront quel est son nom.
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie
Et qui gardent les choses qui y sont écrites.
Car le temps est proche.
Le Scribe
Souvenirs de la colline
Témoignages
Je me rendis sur la montagne,
Là où on nous l’interdit.
Le tonnerre et le vent des tempêtes
Faisaient siffler mes oreilles.
Et j’entendis le chant de la colline.
Les pierres ont bougé en ces lieux,
Une ombre a traversé un visage.
Puis, j’ai contemplé ses yeux.
Je sus que l’on entendrait que mes cris
Se disperser au milieu des ruines.
Dans les ténèbres, sa bouche était béante,
Comme un premier avertissement.
Il y avait cette odeur de sang.
Sa tête était lourde, ses membres las.
Ce n’est pas la vie qui l’anime.
Cité sans commentaire dans un carnet de notes.
Un souffle perpétuel vient le nourrir,
Sa vie est longues processions.
Le baiser de la mort peut le rafraîchir
Mais il ne connaîtra la compassion.
Entends : Tu auras un pacte avec les pierres...
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie
Et qui gardent les choses qui y sont écrites.
Car le temps est proche.
Le Scribe
Au commencement
Témoignages
Les pierres commencèrent à devenir malléables
Et à prendre une nouvelle forme.
Alimentées par un souffle de vie, elles grandirent
Et leurs angles vifs devinrent plus doux.
Derrière un rideau de poussière, on put voir une ébauche de statue encore brute,
Qui avait vaguement une forme humaine.
Cité sans commentaire dans un carnet de notes
Mon souffle fera que tu revives.
Tu seras le bras qui tient le bâton.
Ta vie sera sans fin et tu vivras
Jusqu’au dernier jour de la malédiction.
Dans le vent, les voix chanteront
Et tu ne connaîtras aucune joie.
Et le jour, le soleil brillera pour les nuits
Que jamais tu ne verras.
Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie
Et qui gardent les choses qui y sont écrites.
Car le temps est proche.
Le Scribe
Avènement d'Emet le Golem
L'esprit qui m'invoqua me baptisa Emet, ce qui signifie Vérité.
Et comme des stigmates, je porte cette inscription sur le front.
Né de la poussière, de la terre et de la colère d'un seul homme,
Je traverse de manière continuelle les âges et les lieux,
En quête de mes sens élémentaires.
Pour parfaire ma condition, j'oterais une à une les vies qui brilleront
Commes des lampions autour de moi.
Jusqu'à l'instant où je verrais enfin le jour et son soleil,
Je ne cesserais de tourmenter vos foyers, ainsi que l'a voulu mon père.
Car telle est la vie d'un Golem.¨
Emet
Les noms de Dieu
Fils de l'homme, je suis à présent parmi vous! Votre cauchemar se nomme Emet.
Et je suis venu vous en délivrer. Invoqué sans l’agrément des dieux, ce golem d’argile ne cessera jamais de vous traquer, car telle est sa vérité. Il est temps de choisir ! Contre votre allégeance et la promesse d’une vie, je serais l’architecte de votre salue et de votre triomphe sur toutes les créatures du monde. Vous n’avez plus un instant ! La nuit va prochainement tombée. Sans votre adoration, je serais l’unique contemplateur de votre dernier jugement l’emportant sur la raison.
Fils de l’homme, voici mon premier commandement ! A ceux dont le nom n’est pas souillé, je demande de venir me trouver afin de connaître l’illumination et de recevoir la marque des êtres immolés. Alors une garde sanctifiée vous sera conférée. Contemplez ma puissance ! De toutes vos morts et de vos fautes, vous êtes à présent lavés. Car d’Oracle en Prophète, de Prophète en mage j’ai mué, et Zoroastre votre seigneur bienfaiteur est le nom de celui qu’il vous faudra prier.
Zorastre
Dressés vers le ciel
A proximité de la tombe des rois, je regardai.
Sur le ciel au dessus de la tête des hommes,
Il y avait un cône de lumière qui siégeait
Comme un trône parmi les anges.
Et j’allai sur les chemins de terre
Au milieu des hommes, prendre des mains
Les pierres de saphir pour les rapporter
Sur ce lieu de prières.
Je les alignai entre elles sur le sol pour donner un sens.
Alors la gloire de l’éphémère s’éleva
Du dessus des hommes et se dirigea
Vers le firmament qui est habité.
Une nuée de chérubins apparut
Et le bruit de leurs ailes se fit entendre
Jusque dans les bas fonds des océans.
J’allai me placer près de l’alignement en pierre
Pour qu’ils me virent. Et ils me virent.
Un chérubin prit le feu et tendit sa main
A un autre chérubin, qui à son tour transmit
Le feu par sa main à un autre chérubin,
Pour ne faire qu’un seul bras.
Ainsi je reçus le feu entre les hommes et les anges.
Puis je regardai. Et voici qu’il y eut désormais
Trois signes au milieu des hommes,
Prenant l’aspect de monolithes noirs.
D’apparence, tous les trois avaient la même forme
Et s’alignaient par équidistance. Chacun avait quatre faces,
Comme pour marquer chaque époque.
Sous mes yeux, les chérubins déployèrent enfin leurs ailes
Pour s’élever de terre. Avant de les voir disparaître,
J’entendis qu’ils chantaient et qu’ils appelaient
Les monolithes : l'Arche d’alliance.
Zorastre
Un nouveau pouvoir
Fils de l’Homme. Jadis je suis venu vous quérir. Voyant vos morts cumulées, j’ai pris pitié et vous en ai débarrassées. Puis, j’ai élevé de terre, l’Arche du salue dont le faîtage atteint les cieux. Les dieux qui vivent au dessus en ont été ébranlés, alors que les êtres du dessous ne s’en sont souciés. J’insuffle donc au tabernacle le renouveau d’espoir et vous fait don d’un précieux présent.
Fils de l’Homme. Soyez dignes et entendez ce commandement :
A ceux dont la foi guide les pas, vous devrez affronter la mort et la vérité réunies, et me rapporter le trophée de ce combat initiatique. Selon la hauteur de votre profession de foi, je gratifierai les biens heureux qui n’auront plus à souffrir du trépas.
Zorastre
Naissance
Les carillons du temple résonnaient dans la nuit,
Lorsque le dernier cri d’une mère les interrompit.
S’en suivit la longue récolte du fruit d’une vie
Et l’accouchement de l’enfant de la prophétie.
- L’enfant est-il mort ?
- Vois cette toison noire et ce visage blême comme la neige.
- Quel est ce présage ?
- Sa peau est si froide… comment peut-il survivre ?
- Drapons-le. La nuit en décidera.
Se furent l’aube et les promesses du nouveau jour,
Tandis que les chalands saluèrent ce bébé et son parcours.
Innocent et inconscient des futurs obstacles,
Ce petit être accomplirait bien d’autres miracles.
Le Scribe
Moi Potesta, désormais à vos côtés
Son sang est aussi bleu,
Que la profondeur de ses yeux,
Son esprit est aussi ouvert,
Que sa peau est claire,
Le masque d’usage,
Le voile sur son visage,
subliment son dévouement,
Pour un désir de châtiment,
Au revoir maudit sable,
Pour un futur inoubliable,
La fin semble si proche,
Déjà inscrite dans roche,
Chaque instant elle l’aime,
Ses larmes apaisent sa peine,
Elle souhaite son heure,
Pour dire adieu au malheur.
Potesta
Témoignages d'allégeance
Kardril vit le jour sur les terres de Baduk dans un temps reculé, perdu dans les Ages de ce monde.
Né d'un père paysan et d'une mère soigneuse dans un village pauvre, il partit à l'âge de 15 ans faire ses armes et suivre un entrainement rude accompagné de son frère ainé -Gaelan-.
Ils parcoururent Baduk pendant 3 années, ne se séparant que rarement lors de chasses, aidant sur leur chemin les nécessiteux de leur mieux.
Un jour ils entendirent parler d'une terre d'abondance par delà l'océan, une terre encore inexplorée.
Pleins de confiance en leur force ils partirent à l'assaut de ce nouveau défi, emplis d'espoir qu'ils étaient de ramener de quoi aider leur village natal et leurs parents. Malheureusement l'éxistence de ce nouveau continent était parvenue aux oreilles de malandrins, d'assassins et autres vils personnages, et ceux s'étaient empressés de prendre possession de ces lieux, imposant leur soif de sang à quiconque passant à porter de leurs épées...
Sur la route menant à Disneyland les deux frères tombèrent dans une ambuscade, le combat fut rude et les malandrins les laissèrent dépouillés et pour ainsi dire morts. Kardril en reprenant connaissance s'enquit de son frère et à sa grande douleur le vit gisant dans son propre sang, sans vie.
Ce drame marqua un tournant dans la destinée de Kardril, celui-ci abandonnant l'habit de guerrier pour se consacrer à autrui: de sa mère il avait hérité quelques dons curatifs. C'est à cette même époque qu'il jura fidélité au Prince Herbert
Il rencontra alors un dénommé Grund qui le prit en affection et lui offrit un toit où se réfugier et pleurer. Il découvrit sa première famille d'adoption, les Wild Mages.
Il resta parmi eux pendant cinq années, heureux de pouvoir répandre quelques bienfaits, de suivre un si grand homme.
Puis un nouveau il voulut reprendre la route. Grund le vit partir non sans regret, mais il lui avait apprit ce qu'était la liberté. Pendant dix ans encore il explora le monde, perfectionnant ses connaissances dans l'art de la magie, aidant le faible comme le fort, le bon comme le mauvai, révant de rédemption pour tout le monde. Il rencontra donc de nombreuses personnes telles Maskiro ou encore Ziegfried le Brave...
Il y a maintenant deux ans, il arriva sur le continent de Sato, réputé pour ses nombreux dangers autant que pour sa grande richesse. C'est à cette même période qu'il entendit au détour d'une taverne un appel divin: le Prince Herbert devait être libéré.
Partant en quête comme de nombreux aventuriers, il écuma les cinq terres et rapporta la divine potion qui brisa les chaines du Prince.
Son allégeance renforcée, il reprit son périples, mais une idée qui avait germé dans son esprit bien des années auparavant revint en surface, et cette fois-ci il lui donna vie. En mémoire de son frère il recommença à s'entrainer au combat, bien décidé à mettre aussi bien son épée que sa magie au service du Bien.*
Cachetant de cire le parchemin qu'il venant de rédiger, Kardril alla retrouver le Prophète afin de le lui remettre.
S'agenouillant devant lui, il le lui tendit, disant:
"Monseigneur, je n'ai pu me résoudre à vous narer mon histoire de vive voix, je vous l'ai donc modestement couché sur ce parchemin"
De son autre main il extirpa le morceau de chair du golem et le lui tendit de même:
"Par ailleurs voici ce que j'ai pu arracher du corps d'Emet grâce à la magie conférée"
Le visage toujours tourné vers le sol:
"Je suis votre dévoué!"
Kardril
La nuit avait été longue, il l'avait passé à traquer cette bête si puissante. Plusieurs fois il l'avait assailli de coups d'épée mais le résultat avait été médiocre et les représailles féroces. Alors qu'il avait repris sa traque, il vit un mage lancer un sort à Emet et quelquechose d'étrange s'était produit. Le golem n'avait pas riposté, il avait été comme sonné et avait reculé, perdant dans la bataille un morceau de son enveloppe. Black qui était loin d'être un magicien chevronné avait cependant pu mémoriser le sort qui semblait d'une simplicité déconcertante. Fort de cette nouvelle donne, il se présenta devant Emet. Cette fois ci il ne sorti pas son épée mais répetta le sort qu'il avait copié. L'effet escompté se produisit, le golem laissa un morceau de sa cuirasse de pierre sur le champ de bataille et se retira.
Blackhawk avait longuement réfléchi à ce qu'il allait faire mais sa décision était finalemet prise. Au matin, il prit ses affaires et se rendit là où il était sûr de le trouver, là où il l'avait par le passé attaqué sans aucun résultat. Il l'y trouva, jetta la chair du golem au sol, hésita un instant puis s'agenouilla
Mais qu'est ce que?!
Tais toi ce n'est pas le moment.
Blackhawk arrêta de marmoner et parla d'une voix claire et décidé.
Zoroastre tu avais raison, tu es celui qui sait, la preuve en est ce pouvoir dont tu nous as gratifié pour mettre la bête en déroute. Pour cela je ne peux que te rendre raison, et te gratifier de mon allégeance. Mon épée est désormais la tienne indique moi le chemin, guide mes pas je t'en conjure.
Montre moi la voie pour délivrer ces terres.
Black tu fais quoi!
Black baissa la voix de sorte que lui seul pu s'entendre*
Soit proche de tes amis, plus encore...
Tu joues un jeu dangereux
Toujours, on en sait quelque chose...
Il resta ainsi courbé devant le prophète, dans l'attente de ses directives.
Blackhawk se releva et essaya de localiser les yeux du prophète dans l'ombre de sa capuche, en vain. Au bout d'un court moment il se décida à parler.
Je me nomme Blackhawk, et cela fait maintenant plusieurs décennies que je foule ces terres. Malgré mon expérience limitée, j'ai beaucoup voyagé. Dans chaque endroit que j'ai visité, j'ai rencontré la guerre, la stupidité, la pauvreté, la désolation. Souvent, tous ces maux étaient la cause d'êtres comme toi, extrêmement puissants, voulant diriger les autres, mais tu me semble différent cependant, ton aura n'est pas la même que ces pantins, c'est ce qui m'a mené vers toi.
J'appartiens à la guilde des maîtres de la Métempsycose, mon but au sein de cette caste, étant de purifier ces terres de ces êtres qui la gangrène. Tu dis apporter la solution à nos maux, je veux être à tes côtés pour voir comment tu opères.
Black se tût, attendant maintenant une réaction du prophète dont les yeux étaient toujours invisibles.
Blackhawk
Bonjour Zoroastre
Je me présente à toi, comme une de tes fidèles. S'agenouille devant lui. Le regard vers ses yeux.
Je suis Zyclof, des Métempsycose. Je suis a ton service. Je suis venu te voir pour te remettre un présent. J'ai pourchasser Emet, le golem et j'ai réussie a prendre un bout de sa chair. Je vous le remet en guise de fidélité. Je suis et je vous serai toujours fidèle. Le mal a trop régner sur ses terres et avec vous a nos cotés, le bien règneras.
J'ai vécue entre les murs d'un énorme chateau. C'était le Dolmen Cetlics. Ils y avaient tout plein de gens. Des petits, des grands, des mages, des guerriers et un vieux druide. Ils se connaissaient depuis si longtemps qu'on croirait voir une énorme famille. Ma mère, une jeune magicienne du nom d'Irenea m'a tout appris sur l'art de la magie. Mon père, Rintchu lui venait de la famille de l'Étoile Céleste. Mes parents se sont rencontrer y a fort longtemps. D'après les histoires raconter par le vieux Druide (Gruink), y paraitrait qu'Irenea a trouver Rintchu étandue sur le sol et il était très mal au point. Donc la jeune magicienne a utilié ses sorts de soin pour le guérir. Elle invita se jeune inconnu entre nos murs pour qu'il puisse reprendre des forces. C'est la que leurs histoire débuta et ou je suis arrivée!!!.
Un soir d'automne, mon père partie vers les froids de Dusso et il n'est jamais revenu. Nous n'avons jamais retrouver son corps. Il a disparu et il n'a plus jamais donné signe de vie ;o))
Zyclof était triste, tout autant que sa mère, de ne plus revoir son père. Irenea et Zyclof se sont beaucoup rapprochée. Zyclof a commencée a apprendre la magie avec sa mère. Sa mère lui a tout appris.
Un jour, Zyclof n'etait plus capable de vivre entre ses murs. Sa lui rapellais trop son enfance. Les souvenir lui revint sans cesse d'une petite fille qui jouait a cache cache avec son père ou que son père lui ramenait des souvenirs de ses aventures. Donc elle décida de quitter ses murs.
Dans un village, sur la place public, elle rencontra un jeune homme qui se proclamait être un Dieu. Ce jeune homme attira beaucoup l'attention de Zyclof et elle decida de se joindre a lui. Ce jeune Dieu du nom de Torfin lui a permis de partir a l'aventure. Un clan fort et solide ou règne la joie de vivre et la bonne humeur. Tous etant present pour une seule chose, L'entraide. Zyclof commenca alors sa carrière de guérisseuse en suivant les guerriers combattre les dragons, les fées ou meme les vampires.
Après un long moment hors de son clan familliale. Elle n'avait pas beaucoup de nouvelle de sa mère et elle s'ennuyait beaucoup d'elle. Elle rejoint sa mère a l'aide d'un pigeon et elle apprend que de bonne nouvelle. Elle avait rencontrer un homme. Un grand jardinnier des terres Argenté.
Zyclof voulait connaitre cette nouvelle personne. Alors elle décida d'aller le rejoindre dans son clan. Sh@rkes, très heureux de voir la fille de sa nouvelle conquête accepta immédiatement l'invitation de celle-ci dans les AC- Héros Titanesque. C'est la que j'ai fait la rencontre de mon nouveau père ainsi qu'un grand guerrier DurBan ainsi que puissant magicien, Bibi le mage noir.
Après avoir fait un petit parcours avec eux, j'ai été recuillie par Athéna Exclamation au sein de sa famille. Depuis se temps, je parcours les terres en quêtes d'aventure et j'aide les aventuriers a se rendre a des endroits tres dangereux et je leur prodige des soins lorsqu'ils sont faible.
C'est la petite histoire de Zyclof
Amicalement
Zyclof
Voila maintenant de nombreuses Lunes que Malina donna la naissance à un petit être qu’elle appela Jakus.
Dès l’age de 5 ans, Jakus se retrouva seul, car une nuit d’aout des bandits s’introduisit chez lui, massacrant son père et sa mère…
Depuis ce jour, Jakus n’avait qu’une chose en tête : défendre les gens afin qu’un tel malheur ne se reproduise plus.
Depuis tout jeune il chercha un moyen de devenir un être juste et doté d’une résistance remarquable. Plus les années passaient, plus le jeune homme devint expérimenté et quelqu’un d’assez charismatique sur nos terres argentées. Son désire de devenir un masse de résistance avait prit forme, devenant l’un de combattant maîtrisant le mieux son agilité …
Son désire de défendre les autres était toujours présent et ce qu’il essaya de faire du mieux qu’il le pouvait …
Ce désire était de plus en plus fort voyant la menace du terrible Golem arrivé sur les terres … Le combattre et la meilleurs des choses qu’il lui restait à faire…
Après avoir reçut la missive tant attendue du prophète, Jakus se mit en route vers l’arche d’alliance ou se trouvait le sort que Zoroastre avait mit en place pour lutter contre le terrible Golem.
Jakus accompagner de son frère d’arme arpenta chacune des terres afin de trouver cet individu pour lui lancer ce sortilège. Après toute une nuit de chasse, le jeune guerrier le trouva enfin et il eut cette fameuse chair du Golem Emet.
Echappant de peu à la mort, Jakus se mit à la recherche du prophète Zoroastre afin de lui remettre ce bien.
Après une longue journée de marche il le trouva enfin, attendant près de son arche :
Chère Zoroastre, je me présente aujourd’hui face à vous avec ce que vous attendiez : la chair du Golem Emet.
Par cet acte je viens vous prêter allégeance, comme je l’avais fait il y a de ça de nombreuses lunes avec le Prince Herbert.
Sachez, que désormais tout vous sera dévoué. Ma lame sera votre dans le moindre conflit, je donnerais ma vie pour servir vos idéologies ou plutôt nos idéologies.
A la moindre occasion n’hésitez pas à m’envoyer un missive, je serais à vos cotés dans les plus bref délaie, emmenant avec moi mes hommes de mains.
Jakus sorti son épée et la tendis au prophète, puis il s’inclina devant lui, attendant une réponse de sa part.
Après une longue et rude journée à parcourir les terres désertiques de Sato, Jakus décida de prendre une plume et un parchemin afin d'envoyé quelques nouvelles au prophète
Chèr Zoroastre, je vous envois cette missive pour vous informer d'une nouvelle :
Mon fils, Everlight, à décider de se joindre à son père et de vous servire du mieux qu'il le pourra. Il lui reste cependant une tâche a accomplir: affronter le terrible Golem, donc soyez patient.
Vous pourez sans doute compter également sur le soutient de mon épouse, qui en est au même stade que notre enfant.
Je voulais aussi vous dire que j'espèrais de tout coeur vous avoir convaincu et espère que vous pourrez m'attribué quelques responsabités à vos cotés, je ne vous déceverais pas !
Cordialement.
Jakus appela son magnifique faucon au plumage blanc, d'un blanc tellement pur qu'on pourrait le comparer aux neiges éternelles qui ornent les monts imprenables de Dusso.
L'air pensif, il demanda à son animal de faire parvenir cette missive au seigneur Zoroastre dans les plus bref délai.
Jakus
Zoroastre,
Bien souvent j'ai voulu mettre un terme à cette vie, cette tristesse au goût infame et indigeste...
Quelques mètres plus bas et c'en est fini ! Voir ma vie défiler... une dernière fois... Le long de cette falaise... une dernière fois... Me rappeler les bons moments... une dernière fois... Et, enfin, le grand vide, celui que l'on imagine sans le connaître vraiment, celui que l'on nomme, celui qu'on voudrait pouvoir décrire, celui dont on voudrait ne pas avoir peur toute la vie durant, celui que l'on souhaiterait embrasser tendrement et s'y adonner !
J'ai voulu dire adieu à la vie, serrer ma lame en mes mains à en faire couler le sang, l'extirper de mes veine, de mon corps et de mon coeur, empêcher ce dernier de battre plus longtemps... et... une dernière fois... me sentir vivant... une dernière fois...
Me remémorer mes derniers combats, les plus beaux...
Mais tout ça... Je n'en ai jamais vraiment eu le courage... Seule mon immagination a su me porter jusque là...
Comment juger la vie quand elle vous a tout donné ? Comme accepter la mort quand elle veut tout vous prendre ?
Et je vois ces sourires décrocher les astres, je vois ce bonheur grapiller à la vie ses plus beaux moments, ceux que par égoïsme, elle gardait pour elle...
Je vois cette ambition dans les yeux des gens, ils en demandent toujours plus à la vie, elle qui n'est pas toujours des plus généreuses, je vois cette quiétude dans les âmes des vivants... moi qui ne le suis plus vraiment...
M'extirper de ce corps, le laisser inerte sur le sol, lourd comme jamais,... m'envoler vers les cieux, déployer mes ailes et ne jamais bouger, rester sur place et pourtant être ailleurs... si loin... là haut...
La nature des hommes fait de chacun de nous des juges, juges de la vie et de la mort, juges des autres, juges à la fois de tout et de rien, juges d'un vide qui ne serait qu'immensité flagrante, protubérance parmi les protubérances... et pourtant... vide...
J'ai longtemps rêvé que je conterai à la vie mes histoires, puis, qu'à son tour, la vie les conterait, et, qu'à jamais, ces dernières résonneraient dans l'éternité, comme le font les souvenirs et les belles pensées...
J'ai rêvé que mes maux attristeraient les étoiles, et, que le soir venu, sur mes joues glacées, elles viendraient déposer un dernier baiser...
J'ai rêvé que la vie, du haut de ses interdits, redouterait ce voyage infini, j'ai rêvé que la vie, de sa bonté démunie, me rattraperait petit à petit...
Mais de tout ça, rien ne se fera, rien ne fut jamais fait qui plus est...
Aujourd'hui... Moi qui ne sais plus vraiment que je suis, j'ai espéré qu'un autre me détache de la vie...
J'ai espéré qu'un autre, plus puissant, plus fier et plus fort, se fondant en un courage certain que je n'ai jamais eu, serait ma main et ma lame pour m'extirper de la vie...
J'ai compté sur celui que l'on nomme Emet, il n'aurait pas du me laisser vivre, il aurait du tout me prendre...
Mais de tout cela, il n'a rien fait...
Me jugeant indigne de cela peut-être... Je ne sais...
Pour cela, Zoroastre, toi qui es venu me quérir, toi qui a su par tes mots, soigner mes maux et faire renaître la flamme en mon être, toi qui m'a jugé utile, je souhaite devenir tien aujourd'hui !
Je souhaite de mes mains, de ma lame et de mon âme, rendre à Emet la monnaie de sa pièce, je souhaite que ce Golem sans sentiment apprenne la honte et se sente indigne de déhambuler sur ces terres, je souhaite lui apprendre la peur et la terreur, je souhaite qu'à son tour, il connaisse la mort, celle qui n'est pas tant physique que morale !
Zoroastre, toi qui es grand, sois mon maître, que tes mots soient mon chemin, que tes désirs soient mes ordres !
Zoroastre, dis moi que faire !
Dreamer
Par deux fois Friz avait rencontrée Zoroastre sur Kedok. PAr deux fois elle lui avait demandé de la prendre a son service, et par deux fois il lui avait répondu gentillement d'attendre le début de la prophétie.
Elle attendit donc, et un soir, alors que toute espoir commencait a disparaitre en elle, Zoroastre le prophète arriva et dit la prophétie
Fils de l’Homme. Jadis je suis venu vous quérir. Voyant vos morts cumulées, j’ai pris pitié et vous en ai débarrassées. Puis, j’ai élevé de terre, l’Arche du salue dont le faîtage atteint les cieux. Les dieux qui vivent au dessus en ont été ébranlés, alors que les êtres du dessous ne s’en sont souciés. J’insuffle donc au tabernacle le renouveau d’espoir et vous fait don d’un précieux présent.
Fils de l’Homme. Soyez dignes et entendez ce commandement :
A ceux dont la foi guide les pas, vous devrez affronter la mort et la vérité réunies, et me rapporter le trophée de ce combat initiatique. Selon la hauteur de votre profession de foi, je gratifierai les biens heureux qui n’auront plus à souffrir du trépas.
Ausitot, après avoir entendu la prophétie, elle se mis en quete de trouver Emet et de lui infliger un sort de destructuration.
Elle le trouva néanmoins dimanche soir, sur les terres arrides de Sato. Elle l'avait déja rencontrée auparavant, et savait qu'il étai rapide. Des qu'il la vit il courut l'épée a la main prèt a frapper.
Friz eu juste le temps d'invoquer son sort, mais elle ne sut pas si elle avait touché le Golem ou pas.
Elle sentit la lame la traversé, mais elle ne mourut pas.
Quand elle se releva, elle contempla le Golem, il avait beau être pris par la haine, il n'en restait pas moins un excellent adversaire.
Puis subitement, il disparut du paysage, emporté au loin, allant faire une nouvelle victime. Quand elle regarda autour d'elle, elle remarqua un petit bout de chaire au sol, et elle le ramassa.
Le morceau de chaire d'Emet en main, elle voyagea vers Kedok, et marcha jusqu'a atteindre l'arche d'alliance.
Elle trouva de nouveau Zoroastre, assis devant les monolithe noirs.
Elle s'approcha, et se mit a genou devant lui, tendant le morceau de chaire, elle dit :
Oh Grand prophète, j'ai accompli votre demande, je vous ramène en ce lieu un morceau de la chaire du Golem.
Je vous demande a nouveau de me prendre a votre service. Je vous servirais aussi bien que j'ai servie mon ancien maitre, le Prince Herbert.
N'ayant plus de mots a sortir, elle se tut et attendit la réponse du prophète.
Depuis sa naissance, Friz avait été initiée a l'art de la magie par son père Byleth.
Elle avait récupéré de son père l'art meme de la magie et de sa mère inconnu l'art de faire le bien. Au début de sa jeunesse, elle commenca a soigner les blessers arrivant par dixaine a Byceps city.
L'art de soigner s'inscrivait progréssivement en elle, et elle en fut heureuse. Plus elle vieillissait et plus elle soignait, si bien qu'elle était maintenant dans les cinquante meilleurs guérrisseurs de ces terres.
Mais également, plus elle vieillissait et plus elle donnait. Sa richesse personnelle elle s'en moquait, et donc elle offrait a qui le lui demandait de facon convenable.
Lorsqu'elle rencontra le Prince Herbert pour la première fois de sa vie, elle lui jura fidélitée et commenca a répendre le bien tout autour d'elle.
Mais, plus les rides se lisaient sur son visage, et plus elle se transformait. La haine qui habitait son père autrefois arrivait peu a peu en elle. Autrefois, lorsqu'on l'attaquait, elle commencait par soigner les blessures de son adverssaire, et ensuite les siennes.
Maintenant, lorsqu'on l'attaquait, elle se soignait, et rendait les blessures a son attaquant, puis partait. Les personnes qui comptait le plus dans sa vie recevait toujours ses soins, et ceux qui le lui demandait recevaient des dons. Elle soignait toujours autant de petits jeunes, nouveau né sur ces terres.
Lorsque Zoroastre apparut sur ces terres, elle se dit que ce fut probablement ce qui lui manquait. Son ancien maitre le Prince Herbert avait disparu depuis longtemps, s'emfermant dans son palais, et en sortant qu'en de rares occasions.
Peux-etre lui fallait t'elle un nouveau maitre afin de revenir comme elle fut autrefois. Gentils, et souhaitant aidé son prochain qui qu'il soit.
Aussi, quand Zoroastre expliqua comment réalisé la prophétie, elle la fit le plus rapidement possible, afin de se mettre aussi rapidement a son service. Retrouver un maitre.
Voila ce qu'il lui fallait pour qu'elle redevienne la personne qu'elle avait été autrefois. Aussi c'était t'elle mis a genoux devant Zoroastre par deux fois, et lui avait demandé de la prendre a son service.
Maintenant, elle ne pouvait faire autre chose qu'attendre la réponse de Zoroastre.
Friz
Oh ! Grand Zoroastre !
Vagabondant à travers nos terres,
Je désespérai à vous rencontrer,
Ce jour est enfin arrivé,
Je me dois de vous parler !
Mon nom n’est pas aussi propagé que le votre,
Mais grâce à vous, je peux prouver aux nôtres,
Que leur incrédulité est stupidité !
Emet, semble être un cauchemar impérissable,
Or votre bravoure et votre courage,
Me convainc absolument du contraire !
Je crois en votre détermination,
Ou le peuple formerait une nation,
Luttant contre le pernicieux,
Qui nous laisserait sans adieux !
C’est pourquoi, je désire me joindre à votre engagement,
En vous prêtant le somptueux serment….
S’incline devant lui, la tête baissée, une main posée sur le cœur.
« Moi, Aaliyah, ange déchu,
Je jure solennellement donner mon allégeance,
Mon adoration et mon intelligence,
A l’accroissement de votre puissance,
Je jure de vous prier fidèlement,
De laver mon passé troublant,
En étant dans votre armée glorieuse,
Qui ne pourra être que fructueuse !
Je jure de porter le pendentif sacré,
Qui nous alliera à jamais,
En me rappelant tous les biens-faits,
Que vous m’aurez accordez… »
Aaliyah
Un jour d'automne je dirais meme un soir d'automne un jeune mage prenomé Ducasse
errant dans les contrer de kedok se rendit a bicep's city tout y été calme deux s'ou troix combats
s'y deroulé mais rien de bien mechant....
Met ce calme ne fut pas de tout repos......
Apres deux heure d'errance continuel Ducasse decida de rester a bicep's city surment son intuition personne ne sera....
Le soir tomba les gens rentrerent seul deux s'ou troix témeraire resterent. Mais un golem Nonmé Emet fut son intrusion, Ducasse vut les victime tomber les une deriere les autres....
il fut les temp de prendre son courage a deux main, Ducasse arriva de face et lui lanca sont sort de destruction ceci blessat le golem tres violament ,laissant tomber un bout de sa chaire....
Puis le golem disparut.....
Ducasse se rapella qu'un certain zoroastre avait parler de ce golem et aussi il fallait lui ramener ca chaire pour montrer que l'on avait combatu ce golem de chaire...
Le jeune hommes si rendit et dit:
cher Zoroastre je m'incline devant vous en signe de reconnaissance j'ai combatu ce golem et il laisser une chose que je doit vous montrer en preuve de ce combats...
Ducasse lui montra la chaire de emet et s'inclina...
Oui et veuillez M'en excusé
Ducasse prit concience de son manque de fidelite....
Si aujourd'hui je suis venu vous voir et pour vous montrer ma dignité envers vous ...Je me suis fixé un objectif etre digne a vous Zoroastre et combatre l'infame Golem comme vous me l'avez dit....
J'ai ressenti le besoin de le faire , je ne l'ai pas fait car tout le monde le faisait, Ceci ma donné la foix de croire en quelque chose ... J'y ais laissé mon sang pour vous servir...
Voila pourquoi j'ais un but maintenant ....
Vous servir et vous aider dans vos taches tout en vous donnant ma confience...
Voila cher Zoroastre je vous servirais dans votre conquete contre le mal
Ducasse s'inclina davnt le grand mage.
Le soleil brillait, le reflet qu'il provoquait sur les monoliths donna la direction a Ducasse. Celui ci s'avanca, et vie un homme revetu de blanc. Il sintillait devant les monolithes noir qui se dréssaient derrière lui.
Ducasse s'approcha de l'homme, mis un genou a terre et dit :
Si aujourd'hui je suis venu vous voir et pour vous montrer ma dignité envers vous ...Je me suis fixé un objectif etre digne a vous Zoroastre et combatre l'infame Golem comme vous me l'avez dit....
J'ai ressenti le besoin de le faire , je ne l'ai pas fait car tout le monde le faisait, Ceci ma donné la foix de croire en quelque chose ... J'y ais laissé mon sang pour vous servir...
Voila pourquoi j'ais un but maintenant ....
Vous servir et vous aider dans vos taches tout en vous donnant ma confience...
Voila cher Zoroastre je vous servirais dans votre conquete contre le mal*
Ducasse se tut et s'inclina devant le prophète blanc. Il attendit que ce dernier prenne la parole
*Ducasse, le genou à terre, commença à narrer sa vie*
Je suis Ducasse, né de Mr. Incredible et de ayumi. Je suis arrivé sur ces terre le 11 novembre 2006
J'ai grandit en tant que mage, je me suis beaucoup entraîné avant de voyagé entre les différents continents des terres argentées.
Je suis un hardi défenseur de la Neutralité politique et religieuse, la seul chose qui m'importe est de pouvoir vivre librement, pour moi et pour toute la population de ces terres.
Au fur et a mesure de voyager, mes rencontres, aussi funestes soient-elles, ont fait de moi un vampire, mais un vampire Neutre.
Je suis serviteur des B13 et est grandi dans leurs sanctuaires.
Bref, je vais vous aider, Zoroastre, bien que je sois pour la Neutralité de ces terres, et je vous le prie, croyez en ma sincérité et ma fidélité infinie en vous, cher prophète. Je vous servirai comme je vous l'ai déjà dit, car pour moi cela relève de ma volonté, inflexible pour vous.
Ducasse
Une douleur vive au côté gauche. La respiration est lourde, la panique suinte dans l'atmosphère. Les cris d'alarme et de douleur retentissent alentour. La Bête n'est plus très loin, elle est même arrivée. Depuis quelques semaines déjà, il avait lu les signes, guetté avec attention les horizons du monde et parcouru avec empressement chaque grimoire contenu dans les immenses bibliothèques, les chambres du Savoir.
Le Bibliothécaire d'Ankh Morpork n'avait guère pu l'avancer, la menace était cependant sérieuse, tout deux le sentaient. Comment combattre une force aussi sombre, qui bouleversait même les âmes, les corrompaient et les faisaient basculer dans une noirceur de l'esprit qu'il n'avait encore jamais osé imaginé. Il savait qu'Elle les traquerait, eux les vivants, détruisant la joie de vivre de ses lourds poings minéraux. Ses yeux étaient morts, ainsi que ses oreilles et sa bouche. Quelle terrible magie pouvait animer cette abomination de la Nature. Depuis la mort de son épouse bien aimée, Amandine2, le choix de la voie du Vagabond s'était imposé à lui. Le respect des autres ainsi que la découverte de vérités fondamentales lui étaient parvenus lors de ses longues promenades solitaires ou de ses méditations face à lui-même.
Rien ne pourrait le faire revenir en arrière maintenant. Il avait reconstruit sa vie, péniblement redressant les blocs effondrés de son être pour lui redonner les étincelles pétillantes qu'on lui connaissait. Sa décision avait été forgée devant le firmament embrasé d'étoiles et son périple avait franchi les sentiers de ses ancêtres nains. Son apparence avait bien changé. Il avait grandi, il avait mûri. Ses joues parcheminées étaient mangées par la barbe blanche qu'il tapotait souvent pour en enlever la poussière des chemins. Sa taille prodigieuse pour un nain le plaçait à hauteur égale à celle d'un humain, mais les décennies pesaient lourdement sur sa conscience mais lui donnaient également la force et l'espoir dont il caressait avec le sourire la forme limpide chaque soir.
Endossant un costume neuf, chaussant ses souliers et son chapeau qui l'avait si souvent aidé par le passé, il franchit d'un bond le ruisseau qui le séparait de l'orée de la forêt. Un regard en arrière pour couver de tendresse son épouse, Belle de nuit, tandis que sa main se referme sur son marteau. Elle dort paisiblement dans le hamac, son visage rappelant ses origines célestes. Il part à la guerre, se rangeant au service d'un être au pouvoir fabuleux. Sa parole est Juste et son cœur Vrai. Son nom est Zoroastre, l'Oracle de l'Apocalypse. Et il le suivra jusqu'au coeur de l'Enfer pour donner à ces Terres une chance.
Arrivant devant l'homme, il tomba lourdement à genoux devant lui.
« Juste parmi les Justes, moi, Gotrek de la Cité blanche d'Ankh Morpok, je me range à votre service. Guidez ma lame et mon coeur de votre Sagesse. Chassez le trouble qui assaille nos sens pour qu'avec vous, nous puissions rendre vie, gloire et honneur à votre nom. Zoroastre, guidez-nous ... »
XIII
Depuis quelques lunes, les duels s’enchaînaient.
Frapper des monstres ? Plus aucune importance. Ils ne faisaient plus que pale figure face à ma puissance actuelle.
Je devais me mesurer aux plus grands mages, barbares et archers de ces terres. Et j’y parvenais avec un franc succès. Un par un, ils passaient de vie à trépas.
Ce qui me poussait à cela ? Je n’en savais pas grand-chose, juste que ma soif de victoire était telle que je ne pouvais pas faire marche arrière.
Parfois, j’avais honte de mon attitude actuelle. Moi qui avait défendu les soigneurs et leurs nobles causes, il m’arrivait parfois de les mener droit au cimetière, ou de les blesser à tel point que leur vie en serait changées pour toujours.
Mais qu’importe ! Aujourd’hui, j’étais seule. Et j’avoue que je le vivais mieux que ce que j’aurais imaginé !
La cité me manque beaucoup. J’y repasse dès que l’amertume envahit ma gorge et que le seul remède reste ses habitants, si chers à mon cœur.
J’aimerais tant rester avec eux, pour l’éternité, mais le destin a séparé nos chemins, et seule, je dois continuer ma route. Je ne pourrais m’adonner à mes activités tout en portant leur blason. Ce serait faire déshonneur au nom que je respecte le plus ! Cité des merveilles, croisement de tout être et de toute civilisation. Tu seras à jamais dans mon esprit.
Et je pense, en espérant ne pas me tromper, que ces habitants m’apprécient. Chacune de mes visites est accueillie avec la même générosité. Ils ont compris que nos futurs respectifs ne sont pas intimement liés.
Sans être de l’histoire ancienne, la page est tournée, et ma nouvelle notoriété, aussi étonnante qu’elle soit, ne me permettra plus de me retourner sur mon choix. Comme une marche si facile à descendre, mais si dure à remonter.
A ce moment précis, je fais face à un mage. Il me dévisage, lui qui était sagement en train de tester ses nouveaux pouvoirs sur des manticores, vient de se faire défier.
Il possède tout ce dont un sorcier de son niveau a besoin. Un bâton, un livre de sort, une cape, et un chapeau. Je sais qu’il sera dur à abattre, une lourde défense magique le protégeant.
Je me baisse, le quittant des yeux. Il ne me fait pas peur. Je ramasse une poignée de sable. Tout doucement, il s’écoule de mon gant. Quand le dernier grain s’écrasa au sol, j’étais déjà en course vers ma cible, qui m’envoyait des blocs de glaces, que j’esquivais avec grâce. Je l’atteins. Je savais que j’avais fait ce dont mon cœur voulait. Je l’avais vaincu, lui enlevant la vie. L’enchanteur était au sol, face contre terre, l’air endormi.
Le tranchant de ma lance est horrible. Taché de sang, il me faut le nettoyer, sinon des taches resteraient, dénaturant toute sa beauté. Je m’assois sur un rocher, face à ma victime.
Et c’est dans ces conditions que ça se reproduisit.
La première fois que ça arriva, je pris peur, ne comprenant pas ce qui se passait, me demandant ce qui allait advenir de moi.
Par la suite, j’essayais de comprendre, mais en vain. Le phénomène paraissait inexplicable.
A chaque fois, j’étais seule, et je ne pouvais donc pas laisser constater la chose. De toute manière, ma vie d’ermite me convient très bien.
Une petite boule fantomatique, de la taille d’un gant, s’extrayait lentement du corps de ma victime, volant gracieusement dans les airs, s’approchant de moi, et passant à travers mes chairs pour … faire partie de moi ? Je n’en étais pas sure.
Ce que je savais, c’est que ça ne me faisait pas mal. Elle entrait, et me laissait un vague frisson, comme si une légère brise fraîche venait de caresser ma peau.
Et plus inquiétant, à chaque fois qu’elle pénétrait je ne sais où en moi, j’entendais un murmure, qui semblait venir des profondeurs de la terre.
La voix semblait appeler quelqu’un.
« ELYA »
Elya ? Qui cela pouvait-il bien être ?
Ma curiosité m’entraînait à aller chercher les réponses à mes interrogations. Vêtue d’une cape qui couvrait mes cheveux, je me rendais dans les bibliothèques de la contrée, rencontrant les vieux sages ou les plus fous apothicaires.
Ma quête d’information achevée, il ne restait qu’un résultat à tout ceci.
Les faits constatés rappelaient étrangement la nécromancie, science étrange rapportées dans quelques écrits, et qui semblait effrayer les gens à qui j’en avais parlé.
Dans les faits, le nécromancien se servait de l’âme des morts afin d’en tirer un bénéfice personnel. Cela pouvait être de la puissance, l’appel à des revenants, ou encore l’invocation de Satan, seigneur des Enfers en personne. Mais ces faits n’étaient narrés que dans des manuscrits plus légendaires que réels.
Dans mes circonstances, la seule chose qui accroissait en moi après une dites absorption, ce n’était pas le pouvoir, c’était l’envie … L’envie de recommencer, de faire mieux, et ainsi d’aspirer de nouvelles âmes. Cercle infernal, je l’accorde, mais dont je ne pourrais sans doute pas me défaire.
Ma vie était très saine, pas d’alcool ou autres herbes à fumer à la pipe. Je ne rêvais pas. Ces âmes, je les voyais, et chacune me parlait, comme si elles m’avaient toujours connu.
Elya.
J’aspirais les âmes, et j’aimais ça. Le duel, c’était devenu ma vie. Je ne pourrais plus faire autrement dorénavant.
Sans savoir pourquoi, j’étais devenu nécromancienne.
Et là, nettoyant méticuleusement ma lame, assise sur ce rocher, je ne pensais qu’au prochain de mes combats. Ne pensant que dans un futur proche, oubliant peut-être le combat intérieur qui se jouerait par la suite. Je savourais ma victoire, et mon envie, de plus en plus grande, qui m’aiderait dans de nouvelles conquêtes.
J’avais vu apparaître cet Oracle. Homme vêtu d’une cape, qui était apparu derrière une colline, par une soirée orageuse. Je ne savais pas si je pourrais lui faire confiance.
Il avait promis de revenir, sept jours plus tard. Il apporterait alors à ceux qui lui prêteraient allégeance, ce dont ils ont envie.
Mon destin était tracé, quand il reviendrait, je serais présente, vêtue d’une longue cape couvrant mon visage.
Et c’est à cet instant que je disparaîtrai, sombrant dans l’anonymat, et devenant peut-être celle que les âmes nomment Elya.
Elya
Everlight venait d'arriver au temple de Zoroastre lorsque un Flashback vint le troubler.
Everlight venait de faire tomber le grand Seigneur des ténèbres , le Golem Emet. Avec l'avant Garde de la Dark Alliance , Il était parvenu a lui arracher un morceau de chère.
Il savait que cette acte héroïque lui vaudrait un jour d'être récompenser...
Son père jakus lui avais compter l'histoire D'un seigneur de lumière qui viendrait un jour relever le défit de terrassé cette Envoyer de Satan
La prophétie comptait aussi que certaines personnes , pourrais jouer un rôle en lui prêtant allégeance.
La seule condition pour prouver sa loyauté en vers Zoroastre étaient de ramener un Bien de ce Golem.
Se souvenant d'avoir Réussit a obtenir cette chère , Everlight traqua sans cesse la moindre information à fin de pouvoir joindre ce Dieu
Après de long mois de recherche , Everlight arriva au temple bien caché de Zoroastre ...
Sa surprise fut telle qu'il en resta muet ... Le temple était éclairé d'une lumière telle , telllement pure . Everlight s'y sentit a son aise .
Dans sa main serré , le bout de chère . Il prit son courage a deux main et entra dans le temple. Accommodé a la lumière il s'annonça
Devant lui Un homme fait de lumière , tellement imposant.
Everlight s'agenouilla en présentant son offrande.
Me voici devant vous seigneur Pour vous annoncer ma loyauté et mon allégeance, prenez dans mes mains ma preuve de ma loyauté .
Everlight se releva , et déploya ses ailes d'anges. Je vous servirai jusqu'a ma mort , je vous apporterai ma foie , mon soutien ...
Soyer bon et aidez moi a vaincre se fléau qu'est Emet !!
Everlight attendit la réponse de Zoroastre.
Everlight
Skeal se promenait dans les terres arrides quand tout a coup il sentit une odeur bizarre, il chercha partout et vit de loin le golem.
il repensa aux paroles de Zoroastre. Skeal prit son courage a deux mains, sortit son épée et attaqua le golem. Sur le sol se trouvait un morceau de chair du golem
Skeal le mit dans sa poche et se mit en route pour retrouver Zoroastre et lui donna cette chair en preuve de sa loyauté envers ce Grand combattant.
Skeal envoya un pigeon pour prévenir Zoroastre de son arrivé.
Skeal marcha 3 jours et arriva enfin a l'arche de l'alliance et vit le grand Zoroastre qui l'attendait.
Skeal se mit face a lui et posa un genoux à terre, sorti son épée, la planta dans le sol et lui dit.
"Mon épée est votre,je serai la pour vous servir et vous protéger de tout danger d'attaque contre votre personne je serai pret a mourir pour vous"
Skeal regarda Zoroastre dans les yeux et se présenta : je m'appelle Skeal je n'ai pas de pere ni de mere,mon activité sur cette terre, tuer tous ceux qui ne mérite pas de vivre,skeal est solitaire a la recherche d'un etre d'une grande envergure pour combatre a ses cotés et lui apporter la victoire,il ne ressent aucune douleur ni aucune pitié pour lui une seule devise survivre ou mourir.
Après s'etre présenté *skeal lui tendit le morceau de chair et dit :
Voilà une preuve de mon courage et de ma loyauté envers vous*
J'espere etre digne de votre confiance et de combattre un jour a vos cotés pour vous prouvez ma loyauté
Skeal donna son épée a Zoroastre
Il prit l'épée et mis sur la lame un "Z" pour montrer aux victimes de Skeal que cette lame sert le grand Zoroastre et ce jusqu'a la mort du guerrier
Skeal remis son épée a sa place, s'inclinat devant lui et reprit son chemin vers les terres arrides en attendant une réponse de Zoroastre.
Skeal
[Fils de l’Homme. Soyez dignes et entendez ce commandement :
A ceux dont la foi guide les pas, vous devrez affronter la mort et la vérité réunies, et me rapporter le trophée de ce combat initiatique.]
L'ange reçu ce message un matin et se dit que cet Homme méritait son respect. Et pour prouver qu'elle le suivrait dans son combat en ce monde, elle alla à la recherche du mal dont il avait parlé.
Je traquais Emet depuis quelques semaines et des rumeurs sur lui et sa puissance grandissaient chaque jours. Je pris alors la décision de mettre fin à ses agissements de manière rapide. Pour la gloire de Zoroastre, j'envoyais une pensé à ce Golem.
Emet, grand Golem, vous avez répandu le mal sur ces terres. Mais sachez que maintenant; je vous traquerai tout le temps et que je suis prête à vous affronter. Si vous osez relever le défi, vous me trouverez à la ville qui a connu la naissance et la mort du Djinn.
Quelque jours plus tard l'ange de la mort fit un rêve. Dedans Emet lui avait laissé un message.
[Emet se réveilla après les paroles de l'ange de la mort, maintenant sa seule obsession sera de trouver l'ange pour livrer ce combat.
La nuit venait de tomber, depuis sept lunes, je traquais ce golem mais ce soir je savais qu'il viendrait et que je devais me préparer à livrer ce combat.
L'aura maléfique du tueur se faisait ressentir de plus en plus et la ville devenait très silencieuse.
Un cri se fit entendre au loin, il était là et avait fait une nouvelle victime. La seule nouvelle que l'ange apprécia, c'est qu'elle allait pouvoir mettre fin à ces agissement ce soir.
Soudainement, la foret s'ouvrit, c'est alors qu'un homme fait de minéraux apparut, le sang de ses victimes se liait à la magie qu'il contenait et dégageait une lueur rouge très inquiétante.
Emet vit l'ange de la mort mais il ne se jeta pas sur elle et pris conscience que ça ne serait pas une adversaire comme les autres. Avait il senti que l'ange possédait dans son savoir une rune venant des dieux capable de le détruire.
Bonsoir Emet, je vois que vous avez osez venir *Angel gardait sa garde et son sort prêt à être lancé avec toute la puissance que les dieux lui avait confié.
[Ton appel m'est parvenu Ange de la mort je viens à toi sans aucune peur. Mais de ce combat, l'un de nous ne sortira pas vivant]. C'est alors que le Golem se mit à briller de milles feux. Son arme se gonfla de magie et il s'élança alors vers l'ange qui était surprise de cette vitesse.
Hum je vois que tu sais courir. Mais sais tu frapper? A ces mots Angel para le coup du Golem qui la projeta au sol malgré sa défense.
Je vois que je me suis trompée. La force que te procure la magie est digne des plus grands Tueurs.
Angel ferma les yeux et invoqua le sort de déstructuration mais elle n'avait pas vu qu'Emet s'était préparé, elle reçut un deuxième coup.
[Tu peux me tuer mais faut il que tu en aies le temps Ce combat est fini, ta mort est proche.]
Emet leva son arme pour l'abattre sur l'ange de la mort mais une lueur l'aveugla.
Saches, Golem, que la puissance de mon ancien dieu t'est bien supérieur et que mon nom n'est pas que pour faire joli sur les missives. Une aile pour la vie, une aile pour la mort.
Malheureusement pour toi, tu vas connaître mon coté le plus dévastateur.
Sans qu'Emet ne s'en aperçoive, l'ange était dans les airs, ses ailes étaient devenues noires et son visage obscure.
Emet, ta mort est proche. Je ne pensais pas devoir montrer mon vrai visage, mais tu ne pourras pas dire que tu l'as vue car je vais te tuer.
Sur ces mots une lueur monta au dessus de l'ange puis, dans un fracas, s'abattit sur le Golem qui n'eut pas le temps de bouger.
L'ange de la mort regagna la terre parmi les décombres du champ de bataille. Les coups qu'Emet avait porté avaient fait de grands dégâts dans le palais et la dernière attaque de l'ange avait réduit en morceau le golem mais aussi une partie du palais du Djinn.
L'ange ramassa un morceau de chair du Golem pour l'apporter au Seigneur Zoroastre et ainsi lui prouver son dévouement total.
Quelques jours plus tard sur l'arche de l'alliance
Angel arrivait avec son présent pour Zoroastre et entra dans l'arche.
Face à lui, elle lui montra la chair d'Emet.
Bonjour Zoroastre. Je viens à vous pour prouver mon dévouement.
Voici la chair du golem qui a répandu le mal sur ces terres. Pour le bien je vous suivrais et je suis prête à obéir à vos ordres et faire le bien ici bas.
L'ange déploya de magnifiques ailes blanches.
J'espère que la puissance d'un ange à votre service vous aidera à accomplir la lourde tâche de faire régner la paix sur notre monde argenté.
Après ces paroles, l'Ange attendit les nouveaux ordres de Zoroastre.
Angelofdeath