Publication : 27/08/04.
Auteur : OncleMol.
Mise à jour : aucune.
Poids : 1
Prix d'achat : 9.750 Po
Baduk : G3 Bibliothèque de Baduk
PRELUDE
Le son de la pluie sur le bois ...
Les sifflements du vent dans les feuillages ...
Le jour s'était levé mais, la lumiere du matin n'était pas éclatante comme à son habitude ...
La periode de félicité que les contrés lointaines de Nimrook avait connue laissait place une ère bien plus sombre et chaotique.
La migration précoces des oiseaux en avait été le mauvais présage.
C'est en cette journée que l'épopée de Onclemol allait commencer.
Onclemol était alors agé de vingt ans, âge auquel elle aurait du avoir un mari et un voir même plusieurs enfants, et vivre pleinement sa vie de femme au foyer. Mais le destin en avait décidé autrement ...
-----------------------------------------------------------------------
Partie I : ENFANCE
-----------------------------------------------------------------------
Chapitre I : Drame
A l'époque Onclemol et ses parents résidaient déjà à Nimrook dans sa maison actuelle, elle avait alors à peine treize ans. Ils étaient pauvres, bien trop pauvres pour pouvoir vivre décemment en ce monde.
Un jour comme chaque jour alors qu'ils allaient au marché pour y vendre leurs maigres productions familiales ( Fruits, légumes, bétails ), Onclemol s'était aperçu d'un détail inhabituel, quelquechose de très dérangeant. Le visage de son père était marqué d'une inquiétude profonde, comme s'il préssentait que quelquechose allait se produire.
Le marché n'était plus qu'a un quart d'heure de marche quand, sortis de nullepart, surgirent deux hommes entierement vêtus de noir. Impréssionée par leur immense carrure Onclemol tomba à la renverse, tandis que son père avait déjà fait plusieurs pas en arriere. Le bétail pris de panique pris la poudre d'escampette. Elle ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, tout allait trop vite. A peine eut elle le temps de prendre conscience de sa chute que l'un des hommes saisit sa mere, la soulevant comme si elle était une plume. Alors que la main térrifiante du deuxième homme s'apprétait à la saisir, Onclemol eut un éclair de lucidité et culbuta en arrière pour l'éviter. Elle se remis sur ses jambes grâce à sa souplesse de jeune fille. Aider sa mère lui était impossible, les hommes étaient bien trop fort pour elle et sa mère était inconsciente. Impuissante il ne lui restait plus que la fuite comme echapatoire. Onclemol se mit à courir aussi vite que possible sans réfléchir d'avantage, aussi loin que possible.
Extenuée, après vingt minutes de course éfrénée, Onclemol chuta sur le sol, ammortie par des herbes qui étaient pour elle d'une douceur apaisante. Elle s'assoupit...
Chapitre II : Trahison
Apres avoir dormi cinq heure durant, Onclemol décidait alors de regagner sa maison pour peut-etre y retrouver son père. Celui-ci avait en effet fuit les agresseurs assez rapidement pour en etre sorti indemne.
Onclemol pris le temps de se recoiffer et de frotter un peu ses vêtements, et partit en direction de son foyer. Elle n'était pas réellement loin de chez elle, masi la fatigue emotionnelle n'aidant pas, le trajet lui semble long et peinible. La peur de recroiser ses deux agresseurs l'obligea a emprunter des chemins annexes peu amménagés. Une heure de marche longue et douloureuse l'emenna à la fin de son périple. Elle se trouvait alors à quelques dizaines de mètres de sa maison lorsqu'elle entendit des voix. l'une d'entre elle lui était très familiere, tandis que l'autre, très grave, lui était totallement inconnu.
Pris d'un étrange doute, Onclemol décida de s'approcher de la maison en se faufilant par les buissons qui bordaient la fôret proche de l'habitation. Pris d'un pincement au coeur, il ne fallu que quelque seconde pour imaginer les pires atrocités, son père se tenait devant sa maison en pleine conversation avec l'un de ces hommes tout de noir vetu. Mais que se passait t'il?
"Quoi 2000 ?? Mais il manque beaucoups ! On avait dis 5000 pièces."
"On avait dit les deux pas une seule. La petite était plus importante."
Il ne fallut pas tres longtemps à la petite Onclemol pour comprendre que son père voulait la vendre elle et sa mère à ces etranges hommes. Elle sentait monter en elle une colère sans pareil.
"Mais je ne peux rien faire avec si peu, vous aviez dit ..."
L'homme en noir le saisit par la cou, le soulevant de terre comme s'il n'avait pas de poids.
"On ne discute pas avec les habitants de Baduk."
A peine eu t'il fini sa phrase que d'un simple geste il brisa la nuque du père d'Onclemol. Il jeta alors son corps innanimé sur le sol comme un vulgaire déchet, en haussant les épaules.
Chapitre III : Rage
Le cadavre de son père gisait sur le sol, l'homme en noir souriant. Onclemol brûlait interieurement, ce que son père était impardonable. Mais il était celui qui lui avait insuflé la vie, elle l'aimait quel qu'il soit. La haine montait en elle, incontrolable.
Ses yeux étaient devenu d'un blanc laiteux, elle respirait fort tres fort, chacun de ses muscles étaient contractés. L'homme en noir entendit le souffle rauque d'Onclemol qui était sur le point d'exploser. Il l'aperçut debout à l'orée de la fôret comme une bête cherchant sa proie.
"Mais revoila la petite ! Quelle bonne journée, deux femmes pour pas un sous."
Onclemol emit un gémissement, suivi d'un puissant hurlement de colère. Elle bondit sur l'homme en noir en dégageant toute la fureur qu'elle avait en elle. L'homme eu à peine le temps de faire un mouvement qu'Onclemol lui vait déjà asséner le premier coup. Il perdit brèvement l'équilibre, mais se remit sur ses jambes en un rien de temps et tenta à son tour de frapper Onclemol. Pour se protéger, elle mis ses deux bras en avant en position de garde. La puissance du coup aurait du la projeter sur plusieurs mètres, mais ne glissa que de quelques centimètres sur le sol. La jeune fille, profitant de la stupéfaction de l'homme en noir, se rua sur lui en sautant, attrapa sa tête avec ses petites mains et lui plaqua face contre terre. L'homme n'arrivait pas a resister à la force dégagée par cette petite. C'était incompréhensible.
Dans cet élan incontrolable de puissance et de haine Onclemol poussa un dernier hurlement avant de littéralement écraser le tête de sa victime contre le sol : "AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAWHHHHHHHHH"
Ses yeux revinrent à la normale, ses muscles se détendirent, son esprit se vida, ainsi chut elle sur le sol et tomba dans un profond coma.
A SUIVRE...